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Après dix ans de procédure Soixante-quatorze enfants roumains pourront rejoindre leurs parents adoptifs en France

Après dix ans de procédure Soixante-quatorze enfants roumains pourront rejoindre leurs parents adoptifs en France

Publié le 21 juillet 1988 à 00h00 - Mis à jour le 21 juillet 1988 à 00h00

Soixante-quatorze enfants roumains qui attendent, certains depuis plusieurs années, de rejoindre leurs parents adoptifs français vont enfin pouvoir gagner la France, a annoncé, le mardi 19 juillet, le ministère des affaires étrangères à Paris. Le conseil d'Etat roumain a, en effet, approuvé leur adoption et la liste des enfants concernés a été remise ces jours derniers par l'ambassade de Roumanie au Quai d'Orsay.

L'affaire des " bébés roumains " remonte à une dizaine d'années. A l'époque, des avocats roumains étaient venus en France proposer à des couples d'adopter, moyennant une certaine somme, des enfants roumains. Les candidats à l'adoption se sont alors rendus en Roumanie, où ils ont pu choisir comme on le leur promettait " leur " enfant avant d'ouvrir une procédure d'adoption. Les difficultés sont apparues quand ils ont demandé une sortie du territoire. Malgré de nombreuses démarches, la Roumanie s'opposait au départ des enfants. Beaucoup de parents effectuent, depuis plusieurs années, des aller et retour entre les deux pays.

Alerté, le gouvernement français est intervenu à plusieurs reprises. En 1982, M. Michel Jobert, alors ministre du commerce extérieur, avait évoqué ce sujet, lors d'une visite officielle à Bucarest, repris depuis lors à chaque visite d'un responsable de la diplomatie française en Roumanie ou de la diplomatie roumaine en France.

Communiqués - 74 adoptions agreed Romania - France + no more new adoptions

Communiqués du ministère des affaires étrangères, en date du 20 juillet 1988, sur l'adoption d'enfants roumains. I

Circonstances : Remise par les autorités roumaines au ministère des affaires étrangères, d'une liste de 74 enfants roumains dont l'adoption a été approuvée par la Roumanie, juillet 1988

ti : 1 - Déclaration du porte-parole du Quai d'Orsay

- Le Conseil d'Etat roumain a approuvé l'adoption de 74 enfants roumains par des familles françaises. Avec toutes les familles, le ministère des affaires étrangères se réjouit de cette nouvelle et apprécie le geste de bonne volonté qu'elle constitue. Il souhaite qu'une issue satisfaisante soit trouvée aux dossiers d'adoption encore en suspens.

- 2 - Réponse du porte-parole à une question

Soixante-quatorze enfants roumains pourront rejoindre leurs parents adoptifs en France

Après dix ans de procédure

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Soixante-quatorze enfants roumains pourront rejoindre leurs parents adoptifs en France

Soixante-quatorze enfants roumains qui attendent, certains depuis plusieurs années, de rejoindre leurs parents adoptifs français vont enfin pouvoir gagner la France, a annoncé, le mardi 19 juillet [1988], le ministère des affaires étrangères à Paris. Le conseil d’Etat roumain a, en effet, approuvé leur adoption et la liste des enfants concernés a été remise ces jours derniers par l’ambassade de Roumanie au Quai d’Orsay.

L’affaire des « bébés roumains » remonte à une dizaine d’années. A l’époque, des avocats roumains étaient venus en France proposer à des couples d’adopter, moyennant une certaine somme, des enfants roumains. Les candidats à l’adoption se sont rendus en Roumanie, où ils ont pu choisir comme on leur promettait « leur » enfant avant d’ouvrir une procédure d’adoption. Les difficultés sont apparues quand ils ont demandé une sortie du territoire. Malgré de nombreuses démarches, la Roumanie s’opposait au départ des enfants.

Adoptie buitenlandse kinderen lijkt haast onmogelijk te worden

Gepubliceerd op: 14 mei 1988

W. J. de Bruin

Meer informatie

Adoptie buitenlandse kinderen lijkt haast onmogelijk te worden

Op de bureaus van de Vereniging Wereldkinderen stapelen de dossiers zich op tot grote hoogten

Child sex ring run out of UNICEF office

BRUSSELS, Belgium -- Sixteen people, including a former UNICEF official, were convicted Monday of participating in a child sex ring that used a lab in the cellar of a UNICEF office to develop pictures of children in obscene acts.

Jozef Verbeeck, 63, former director of the Brussels office of the U.N. Children's Fund, was sentenced by a Belgian district court to two years in prison for his part in the scandal.

The ring used an organization called CRIES, a French acronym for 'Study and Research Center on Children and Sexuality,' as a cover for its operations.

Verbeeck was charged with knowledge of the group's activities, coordinated by Michel Felu, a UNICEF employee who installed a photo lab in the cellar of the UNICEF office to develop pictures of children engaged in obscene acts.

Felu was sentenced to eight years in prison. Other ring members, ranging in age between 30 and 64, received prison sentences of four to 10 years.

ROMANIA RENOUNCES MOST-FAVORED-NATION STATUS

ROMANIA RENOUNCES MOST-FAVORED-NATION STATUS

The Romanian government, faced with new White House and congressional demands for improved human rights performance, has renounced American trade benefits given to communist countries with liberal emigration policies, U.S. officials said yesterday.

State Department spokeswoman Phyllis Oakley said Romania informed the United States that it will "renounce" the trade concessions, subjecting Romanian goods to higher tariffs as of July 2. Romanian sources say their country could lose up to $250 million in trade with the United States.

Romania also will lose eligibility for U.S. government-supported export credits through the Commodity Credit Corp. or the Export-Import Bank, Oakley said.

The decision reflects the deterioration of relations between the United States and Romanian leader Nicolae Ceausescu, who has been wooed by U.S. administrations in the past because of his relatively independent line from Moscow.

Adoption STOP

See last sentence of article

Soixante-quatorze enfants roumains pourront rejoindre leurs parents adoptifs en France

Les parents adoptifs de quatre-vingt-douze autres enfants attendent encore cependant l’autorisation du gouvernement roumain.

L’affaire des « bébés roumains »

Publié le 8 août 2016 par AFOR

Babies for sale. South Koreans make them, Americans buy them

Babies for sale. South Koreans make them, Americans buy them

by Matthew Rothschild

The Progressive, January 1988

Seoul, South Korea. Five pregnant women sleep on blankets on the tile floor of a small room. They keep their personal belongings in three wooden closets on one wall above their feet. This is home, at least until the babies come. The dormitory is called

Ae Ran Won

MdM SETS UP ADOPTION SERVICE

For orphans, the organisation in 1988 creates an adoption service, different from the “Chain of Hope”, an association created in 1985, administered by MDM until 1994 and which fosters children at distance (between July 1992 and July 1993, for instance, it helps to evacuate 86 wounded children from Sarajevo so that they can be cared for in France). In his book, Olivier Demoinet, explains that he left MDM in November 1998 to personally look after a young girl from Kosovo, getting her all the necessary visas to have a surgical operation in France.

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